fbpx

« Paraphernalia » : Qui arrivera à prononcer le titre du nouveau single de Temples ?

Marin Woisard

Le titre disco-psyché de Temples a beau être imprononçable, il mérite tout notre intérêt avec Sean Ono Lennon à la production, digne héritier de John Lennon.

Temples, le quartet psychédélique adoubé par Noel Gallagher en personne, fait sûrement partie de l’aristocratie rock depuis la sortie en 2013 de leur album Sun Structure, encensé de part et d’autres. À la lignée de sang bleu s’ajoute aujourd’hui Sean Lennon, unique rejeton du couple iconique John Lennon et Yoko Ono, devenu musicien comme ses géniteurs.

Les cinq garçons aux cheveux longs se sont retrouvés le temps d’un titre, Paraphernalia, composé par le groupe anglais et produit par Lennon junior. En résulte un single rudement efficace aux accents disco-pop télescopant à la fois Tame Impala, Daft Punk et MGMT. Le shaker des Temples fait encore une fois des ravages.

Bébé démo est devenue grande

Revenons-en à nos moutons : le titre Paraphernalia. Que signifie t-il ? D’où vient-il ? Rien à voir déjà avec le paraphe, ni le paramédical. Le chanteur et guitariste des Temples, James Bagshaw, a éclairci notre lanterne en ces termes : « Paraphernalia remet en question la profondeur des connexions réelles dans un monde numérique. » Voilà qui est clair.

Après un rapide passage sur Google Traduction , Paraphernalia semble se référer dans la langue de Shakespeare à un attirail, une panoplie ou un ensemble d’équipement. Un peu comme un album. D’abord enregistré comme démo de leur précédent disque, Hot Motion, ce titre n’annoncerait-il pas simplement le futur opus des Temples ? La suite au prochain épisode.

© 2023 Arty Magazine. Tous droits réservés.

Retourner au sommet