S’en sortir sans sortir #21 : Fhin, producteur électro
Fondateur et ex-rédacteur en chef d'Arty Magazine, le grand manitou…
Tous les jours, un invité passe sa tête chez Arty Paris pour partager ses 3 recommandations culturelles. On avait tant aimé le producteur électro Fhin avec sa reprise inspirée de Quand on arrive en ville. Depuis, la poésie apocalyptique de son single Trauma nous a confirmé l’ampleur de son talent. À quelques mois de la sortie de son premier album, Brice Rivallin aka Fhin nous transporte dans son univers parallèle.
Marin : Hello Fhin. Tu nous recommandes quel film ?
Fhin : Sans hésiter Problemos d’Éric Judor. C’est complètement dans le ton actuel et à pleurer de rire.
Problemos vous attend sur Canal VOD.
M. T’as un album à nous conseiller ?
F. Je ne recommanderai jamais assez d’écouter Radiohead. Du coup pour ceux qui n’ont pas pris le temps de le faire, déjà vous avez trop de chance d’écouter pour la première fois, et je conseillerais OK Computer, In Rainbows, Kid A, The Bends… Thom Yorke a aussi sorti un court métrage somptueux, ANIMA, dispo sur Netflix.
ANIMA est dispo sur Netflix.
M. Tu nous réserves une petite surprise pour la fin ?
F. Déjà, je pense que c’est une bonne occasion de « s’imposer » une bonne routine sportive. Notre quotidien ne nous l’empêche plus, pas d’excuses. Et au-delà de se faire du bien physiquement, c’est inspirant de se vider la tête, et ça fait prendre confiance. Sinon en série, un peu sombre mais gros coup de cœur : c’est DARK, une série allemande absolument géniale. Et en plus léger mais bien barré, j’ai bien aimé Ragnarök, c’est Norvégien et super dépaysant.